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Tous les participants au Forum de Genève depuis 2016

Retrouvez toutes les présentations réalisées dans le cadre du Forum de Genève par les jeunes OSI. Voir descriptif détaillé

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Le Projet

Depuis 2016, les participants à des séjours OSI ont la possibilité de participer à une rencontre internationale, le Forum de Genève. Ils y présentent les résultats scientifiques de leur séjour, ce qui explique que certains sujets se répètent d’année en année.

Depuis 2024, ils ont aussi la possibilité de présenter des sujets originaux de leur choix, issus de leurs séjours avec OSI, et en rapport avec les thématiques du Forum : tourisme durable, droits de la nature, sciences participatives, pédagogie de projet, etc. Le mode d’intervention a également été élargi : présentation classique ou atelier interactif.

 2024

Maïra Aguilar-Bre et Frida García Valderrama – « Les drones, un nouvel outil pour sauver les cétacés » (Drones Connection). Les baleines jouent un rôle crucial dans l’équilibre des écosystèmes marins et la régulation du climat, mais leur survie même est menacée par les activités humaines. Nous proposons de recourir aux drones de surveillance pour empêcher leur extinction.

Héloïse Arzur-Bideau, Lila Chabert et Nicolas Lavrut – « La science participative est essentielle pour la recherche scientifique » (Univers). À travers l’exemple de l’astronomie participative, nous présentons l’importance de la science citoyenne et l’aide qu’elle apporte aux chercheurs du monde entier dans de nombreux domaines. Nous proposons ensuite plusieurs pistes pour développer les sciences participatives.

Marc Chatain – « Protéger l’écosystème des forêts par la pédagogie et la gestion responsable » (Perception). Les défrichements des forêts de manière irresponsable et le réchauffement climatique entraînent des conséquences néfastes sur la population des oiseaux de France, ce qui met l’écosystème fragile de la forêt en déséquilibre. Le public doit apprendre les manières pour protéger et exploiter les forêts de manière écologique et durable par la pédagogie (scolaire, sciences participatives, associations) et les gouvernements doivent réguler et mettre à jour les protocoles des organisations gérant les forêts.

Stefan Chatain, Nathan et Philippe Puygrenier-Jacob – « Comment améliorer l’impact environnemental de la recherche scientifique ? » (sujet transversal à plusieurs programmes). Pendant nos séjours avec OSI, nous avons découvert que la recherche scientifique impacte son objet d’étude, souvent de manière négative. Nous en montrons quelques exemples, puis nous proposons des exemples de mesures susceptibles de faciliter la collecte de données tout en respectant au mieux l’environnement.

Daniel Chauvelier et Rayan Khlifi – « Comment réduire les émissions de carbone dans le secteur du bâtiment ? » (Chip’Hackademy). Le secteur du bâtiment est un contributeur majeur aux émissions mondiales de carbone, principalement en raison de la consommation d’énergie et de l’utilisation de matériaux non durables. Cette présentation explorera des solutions innovantes pour relever ces défis et ouvrir la voie à un tourisme plus durable.

Sacha Dallier et Kian Hivin – « Les humains menacent les cétacés : propositions pour coexister » (CETIS). Nous présentons les dangers qui guettent les cétacés tout au long de leur vie, à partir d’observations menées lors de séjours OSI. Nous faisons ensuite des propositions pour une coexistence respectueuse des humains comme des animaux.

Théo Declérieux, Arthur Roumegas et Rémi Verroit – « Entre scientifiques et amateurs, une coopération complexe » (Paléozoïc). Nous analysons la coopération entre scientifiques et amateurs dans le domaine de la paléontologie à travers trois cas nationaux : le Royaume-Uni, la Suisse et le Maroc. Cette comparaison montre l’intérêt de la science participative portée par OSI dans ces échanges parfois complexes.

Emma Delannoy et Chloé Zing – « Quels enjeux soulève la cohabitation entre renards et habitants à Londres ? » (programme expérimental Anthropos). À partir d’une enquête sur la perception des renards urbains à Londres, nous présentons les enjeux de la cohabitation entre les habitants et les animaux sauvages. Cette question est d’autant plus importante que de plus en plus d’espèces sauvages s’installent dans les espaces urbains.

Axel Heitzmann, Valentin Legalland et Geoffrey Moreau-Gaudry – « Quel est mon impact sur l’environnement quand je visite l’Islande ? » (Explor’Earth). Connaissez-vous bien l’Islande, et savez-vous dans quelle mesure vous pouvez endommager les écosystèmes ? Cet atelier interactif vous permettra de mieux comprendre votre impact et de choisir les bons gestes.

Maxence Romano et Nicolas Vercasson – « Présentation d’une Interface Mondiale pour la Protection et l’Action Collaborative Touristique, IMPACT » (projet original porté par les intervenants). Un atelier participatif pour co-définir les fonctionnalités d’une future plateforme numérique innovante visant à rendre le tourisme plus durable, et à simplifier la collecte participative de données pour la science.

 2023

Marie Barbero – « Expédition à la découverte des enjeux environnementaux de l’île de la Réunion » (Perception)

Artus Bonneau-Guiraud, Chiara Bouet-Rochard, Flore Lazrak et Elsa Maubaret – « L’Islande, une terre de feu et de glace » (Explor’Earth)

Mikhaïl Bublex, Chloé Buissière-Lourel, Lucille Le Vu et Plume Vessière – « Les laminaires : un enjeu environnemental et un pilier de l’économie locale en Bretagne » (CETIS) – Nous vous présentons les résultats de l’expédition « Secrets des abysses », réalisée dans le cadre du programme OSI CETIS en Bretagne. L’expédition comprenait une étude approfondie des laminaires, un type d’algue brune remarquable pour ses racines fibreuses et ses longues feuilles en forme de ruban pouvant atteindre quatre mètres de longueur. Lanildut, en Bretagne, est le premier port de débarquement des algues de France et le deuxième en Europe, ce qui en fait un lieu crucial pour la recherche. L’étude a réalisé deux protocoles scientifiques pour évaluer la santé des populations d’algues dans la région, révélant des résultats inquiétants liés à la pollution et au changement climatique, qui menacent la santé des laminaires. Malgré leur importance écologique, les laminaires offrent de nombreux avantages, notamment nutritionnels et pharmaceutiques.

Oriane Cabrol – « Le tourisme responsable au service de la protection des Grands Lacs américains » (WaterWatch). Les Grands Lacs américains constituent l’une des plus grandes réserves d’eau douce au monde, mais la propreté de leur eau et la survie de leur écosystème sont menacées par des activités humaines telles que le transport d’hydrocarbures et l’absence de traitement de nos déchets. Les initiatives de tourisme responsable permettent de sensibiliser le public aux enjeux de la préservation de ce type d’espace et d’agir concrètement pour le protéger.

Léonore Curti, Émeric Denel, Max Fidon et Candice Valentino – « L’eau, une ressource limitée ? » (WaterWatch) – La présentation a pour objectif de sensibiliser à la pollution des eaux. L’eau est une ressource vitale qu’il faut préserver.

Isao Delâtre, Martha Nève et Nolan Sonnerat – « Sensibiliser aux secrets du sol » (Perception) – La plupart des gens ne savent presque rien sur la faune du sol. Quand on leur en parle, ils imaginent des vers de terre et des bêtes « dégoûtantes ». Pourtant, la faune du sol est très riche et essentielle aux écosystèmes. Il est donc vital de la préserver, d’autant que son environnement se dégrade d’année en année. C’est pourquoi des recherches ont été faites pour identifier les meilleures méthodes de sensibilisation. Pendant des mois, des protocoles ont été testés et des expériences menées à l’échelle nationale. Nous présentons ces recherches et nous expliquons pourquoi elles sont importantes pour l’avenir de la faune du sol et plus largement de la planète.

Adrien Dumenil, Louise Foucher-Lefebvre et Yann Leblond – « Mammifères marins et tourisme (éthique) » (CETIS) – Pendant un voyage de science participative avec OSI à travers les royaumes océaniques, nous avons eu le privilège d’aller à la rencontre de mammifères marins dans leur milieu naturel. Des pratiques responsables aux observations des cétacés, notre discussion vise à mettre en lumière l’importance du tourisme éthique dans la préservation du bien-être et de la durabilité de la mégafaune marine, afin de répondre aux enjeux et aux menaces qui pèsent actuellement sur ces populations de mammifères marins.

Kerwann Ferrandiz, Lou-Ambre Frelat et Jules Moingeon – « L’impact de l’activité humaine sur les écosystèmes marins » (CETIS) – Plongeons ensemble au cœur de l’urgence environnementale : notre présentation met en lumière l’impact dévastateur du plastique dans nos océans. Découvrez les chiffres alarmants, les conséquences sur la biodiversité marine et les solutions mises en place pour préserver nos précieux écosystèmes.

Théo Gastinel – « Les drones au service de la nature » (Drone Connection)

Michael Kellendonk – « Sur les traces du lynx des Balkans » (Biodiversita)

Arthur Malville et Arwen Nouveau – « Archéologie sous-marine : passé submergé, futur préservé » (CETIS) – La présentation met en avant la colonie de science participative en archéologie sous-marine dirigée par Davide Alonzo Vega du 8 au 15 juillet 2023 à Socoa. Trois éléments clés sont abordés : la cartographie des fonds marins, l’étude des traces humaines et la conservation des artefacts. La cartographie précise permet de localiser et protéger les vestiges historiques, tandis que l’étude des traces offre un aperçu du passé humain sous les eaux. La conservation est cruciale, tout en veillant à préserver le contexte historique. La présentation souligne aussi l’importance de protéger les écosystèmes marins face au changement climatique. L’archéologie sous-marine devient ainsi un moyen essentiel de préserver notre histoire tout en relevant les défis environnementaux actuels.

Raphaël Rieser – « L’éducation à la nature par l’itinérance » (Perception) – Exploration des bienfaits découlant du contact avec la nature et les animaux à travers un séjour en itinérance.

Iban et Karlo Teillerie – « La perception des habitants de Londres sur les renards en milieu urbain » (programme expérimental Anthropos) – Un voyage scientifique Voyages Scientifiques
Voyage Scientifique
Il ne s’agit pas d’un voyage réservé aux professionnels des sciences, mais d’une occasion pour tous de découvrir les sciences. Il s’agit de profiter de ses vacances pour s’enrichir et participer à la réalisation d’une vraie cause pour la sauvegarde de la planète.
de deux semaines à Londres nous a permis d’en savoir plus sur la vie des renards en ville et comment les gens les perçoivent. Peu d’entre eux sont familiers avec les renards, ce qui les fait penser que leur présence n’est pas naturelle et qu’ils sont tristes en ville, mais la réalité est tout autre.

 2022

Claire Becht-Fixary – « Les cétacés d’Hendaye » (CETIS) – Je présente le déroulement et les résultats de nos observations concernant les dauphins communs au Pays basque.

Amélie Bertus et Marie Jonckheere – « Les sentinelles de la mer : autour de l’archéologie sous-marine » (CETIS) – Le patrimoine sous-marin est très peu connu alors qu’il représente une grande source de savoir sur le passé. Nous avons contribué à un projet d’archéologie sous-marine dont le but est de mieux connaître la partie immergée de l’histoire franco-espagnole au Pays basque.

Antoine Clément et Maxence Ngamba – «  L’impact de la pyrale du buis dans la Drôme (France) » (Perception) – Nous aborderons les problèmes liés aux espèces invasives et plus particulièrement les problèmes causés par la pyrale du buis. En effet au cours d’un séjour scientifique effectué en 2019 dans la Drôme avec OSI nous avons pu observer cet insecte et son impact sur l’environnement. Nous présenterons ce séjour scientifique et les observations que nous avions pu y faire en 2019, avec le programme de recherche « OSI Perception ». Nous proposerons différentes solutions face à la pyrale et les autres espèces invasives.

Lilou Eydely – «  Les enjeux de la protection des algues laminaires » (CETIS) – Les algues sont d’une importance cruciale pour l’écosystème marin, mais pourtant elles sont très utilisées par les humains qui déséquilibrent par conséquent cet écosystème. Je présente un séjour scientifique de recherche participative, impliquant les citoyens, qui avait pour but d’observer et d’étudier les algues pour évaluer leur état de santé.

Arthur Gauthier et Mathieu Rouzet – « La technologie au service de la protection environnementale : le cas du suivi de qualité de l’eau » (WaterWatch) – Nous allons présenter deux opérations scientifiques de recherche participatives différentes mais complémentaires ayant le même objectif à long terme. Ces 2 projets de recherche participative ont eu lieu à Nancy en France, du 10 au 24 juillet 2022. Dans le cadre de ce projet, nous étions répartis en 2 groupes différents : OSI WaterWatch et OSI Chip Hackademy. Le projet WaterWatch visait à effectuer des mesures chimiques et physiques sur des échantillons d’eau prélevés dans des ruisseaux. Le projet OSI Chip Hackademy cherchait a créer une base de données afin de stocker les mesures effectuées par les scientifiques de OSI WaterWatch.

Éole Griffon, Aline Hoang, Océane Lacroix, Titouan Le Coz – « Retour à la vie sauvage : le loup à Yellowstone  » (Biodiversita) – Le loup a été réintroduit dans le parc national de Yellowstone aux Etats-Unis en 1995. Nous sommes partis faire du journalisme scientifique, nous avons étudié l’impact du loup sur son écosystème et son importance.

Louise Péron-Stradella – « Géo-éducation : paléontologie et tourisme » (Paléozoïc) – Mon objectif est de vous présenter le résultat de mon projet de recherche participative effectué lors d’un séjour scientifique qui a eu lieu en Suisse cette année. Au cours de celui-ci, j’ai découvert et observé des empreintes d’archosaures qui sont des reptiles disparus il y a fort longtemps. Je vous invite donc à me rejoindre lors de cette présentation, afin d’en apprendre plus sur mes recherches et sur cette forme de tourisme qu’est le tourisme scientifique.

 2021

Maïra Aguilar-Bre – « Analyser la qualité de l’eau près de Vittel » (WaterWatch) – Le séjour WaterWatch vise a résoudre les problèmes que nous pouvons trouver dans l’écosystème aquatique en France et dans le monde. Pendant ce séjour nous avons fait et des tests dans de petites rivières. Nous avons constaté que l’électro-conductivité était plus grande pour les rivières la Fontaine des Allemands et pour la Mière que pour le Pré Janneton et pour le Petit Vair, ce qui nous permet de connaître le taux de sel nutritif dans l’eau. Mais nous avons aussi pu remarquer qu’il n’y avait pas de nitrite dangereux pour les êtres vivants.

Tom Cailluyer et Timothy Maechler – « Mathématiques du vivant » (programme expérimental) – Dans cette présentation nous allons vous présenter notre stage sur les mathématiques du vivant que nous avons réalisé cet été en Suisse. Au cours de ce séjour nous avons appris à reconnaître où sont les maths dans la nature et comment elles permettent de mieux la connaître et donc mieux la protéger via plusieurs procédés comme des équations, des modélisations ou des graphiques.

Ilona Dausse et Noé Mérigot – « La protection du patrimoine sub-aquatique  » (CETIS) – Le programme OSI d’archéologie subaquatique est un programme qui a la capacité de sensibiliser les gens à la protection de la biodiversité et du patrimoine de l’environnement subaquatique. Tout au long de notre semaine, nous avons appris les enjeux et l’histoire de la baie de Saint-Jean de Luz. Nous avons également appris de multiples méthodes de prospection, ainsi que l’éthique d’un plongeur à la recherche de biens culturels subaquatiques.

Pierre Debellemanière – « Au fil de l’arbre – Collemboles » (Perception) – Présentation de deux projets de recherche participative portant sur l’étude des sols : évaluation de l’efficacité de différents protocoles portant sur l’observation de la biodiversité des sols, et participation à une expérience visant à modifier le rapport aux sols des participants.

Esther Delbrel, Inès Menetrier et Sarah Othenin-Girard – « Comment protéger la baleine basque » (CETIS) – La biodiversité est actuellement en danger, dans tous les types d’écosystèmes. Nous devons donc la protéger, et la meilleure façon d’y parvenir est de mieux la connaître. Les cétacés sont des indicateurs majeurs de l’état de l’écosystème marin. Le séjour « Biscaye la baleine basque » a donc pour objectif d’améliorer les connaissances scientifiques sur l’évolution des populations de cétacés par l’observation de leur milieu naturel : l’océan. Ce séjour vient en complément de celui sur les dauphins de Bretagne, ce qui permet d’observer les migrations des cétacés. Il s’effectue sur un voilier pour garantir une approche responsable de la faune marine. Découvrez comment protéger la biodiversité marine en s’initiant à la navigation.

Guenaëlle Devin et Emma Planchon Rouanet – «  Les dauphins des archipels et l’impact du réchauffement climatique » (CETIS) – Notre séjour des dauphins des archipels visait à recenser le nombre de grands dauphins dans le Cotentin ainsi que de suivre leurs évolutions. Grâce à ce séjour, nous pouvons émettre l’hypothèse que le réchauffement climatique joue un rôle majeur dans l’évolution des grands dauphins et à de grosses conséquences sur la chaîne alimentaire.

Mickaël Frandon, Maël Torre-Glasson et Tristan Valentino – « La détection des exoplanètes » (StarFinder) – Nous allons parler dans cette conférence des différentes méthodes de détection d’exoplanètes dont particulièrement la photométrie que nous avons apprise à maîtriser lors de notre séjour. Nous avons également vu rapidement les termes techniques d’astrophotographie, les différents instruments et les types d’objets photographiables dans le ciel.

Milan Gault et Olivia Pariss – « Nourrie d’expérience la raison est un apanage  » (Excellence) – Le loup est réapparu en France dans les années 1990 après avoir été chassé intensivement durant tous les XIXe et XXe siècle. Venant des Alpes italiennes et se répandant progressivement à travers le pays depuis, il fait polémique et divise les pouvoirs publics, les éleveurs et les militants en faveur de l’animal. Quelles sont les solutions mises en place pour régler la question ? Quel est le rôle du loup dans son écosystème ? Et finalement, cette problématique ne représente-t-elle pas un sujet plus global et tout aussi complexe, celui des mécanismes des écosystèmes ainsi que celui du droit de la nature ? Suite à notre séjour, nous considérons que la raison est un apanage lorsqu’elle est nourrie d’expérience, c’est ce que nous avons vécu durant notre stage Rencontres de l’excellence.

Luc Imbert – « Nature au sommet » (Biodiversita) – En juillet, je suis allé à Chandolin, un des plus hauts villages d’Europe pour participer, avec d’autres profanes, au programme de Nature au Sommet. Le séjour Nature au Sommet est un programme qui mêle botanique et alpinisme, où des participants, de 13 à 45 ans, récoltent des données, supervisés par un botaniste. Il s’inscrit dans le projet Biodiversita, qui est composé de nombreux autres séjours, et dont l’objectif est l’étude et la conservation de la biodiversité, via la recherche participative.

Léo Soules – « Étudier la fonte des glaciers en Islande » (Explor’Earth) – Présentation d’un projet de recherche sur l’observation de la fonte des glaciers en Islande afin d’étudier l’impact du réchauffement climatique. Projet mené par IcelandLab 2021, séjour de sciences participatives organisé par OSI, en collaboration avec l’University of Iceland.

 2020

Amaury Barret, Rosalie Mayet et Paul-Élie Rabier – « Les pyrales et les collemboles » (Perception) – Les séjours « Au fil de l’Arbre » pyrales et collemboles créés par OSI présentent : les pyrales, une espèce invasive qui détruit chaque buis sur son passage ! Mais nous ne savons pas tout sur elles .... Leur nombre de mues est encore inconnu ! Et des prédateurs ont été découverts par OSI ! Les collemboles, des supers héros invisibles à l’œil nu ! Et pourtant sans eux nous ne pourrions plus vivre ! Ils aèrent et apportent des nutriments au sol mieux que personne !

Arthur Brignogne – « Fabriquer un drone et apprendre en faisant » (Drone Connection) – La fabrication de drones au service de la science, un sujet complexe ? C’est pourtant ce défi que des jeunes de 7 à 18 ans se sont proposés de relever cet été 2020 à Crupies en France, encadrés par des professionnels. Ce projet difficile, qui nous a permis d’apprendre par la pratique, vous intéresse ? Venez nous voir ce jeudi au forum de Genève !

Gabriel Chauvelier – « Le lidar dans la vie de tous les jours » (Chip Hackademy) – Durant ces vacances d’été à Crupies, une petite commune à côtés de Valence dans les montagnes, moi et des jeunes intéressés sur l’informatique avons travaillé sur les capteurs, et plus précisément sur le lidar qui permet de scanner un espace en 3D pour pouvoir scanner une grottes au Mexique difficile d’accès à l’homme avec d’autres séjours en commun.

Erdemdalai Damay – « À l’affût de la biodiversité en itinérance » (Biodiversita) – En juillet 2020 j’ai participé au projet Itinérance en partant de Chandolin pour une marche de 40 km à pied avec 3 autres personnes. Nous sommes partis découvrir des endroits encore jamais visités par OSI pour découvrir de nouvelles zones et des nouvelles espèces de plantes et d’animaux. C’est un projet de recherche participative avec des jeunes d’un âge moyen de 14 à 15 ans.

Andéol Drion – « Le séjour StarFinder de découverte des exoplanètes » (StarFinder) – Starfinder est un programme de recherche se basant sur les motivations de jeunes participants sur l’astronomie. Le stage permet aux enfants à partir de sept ans de découvrir les exoplanètes. Il se déroule dans le Val d’Anniviers en Suisse pendant l’été. Ce projet est en partenariat avec l’observatoire François-Xavier Bagnoud (OFXB) situé à 2200 mètres d’altitude.

Emma Loephel Teninges – « Étude des micro-plastiques dans les eaux suisses » (séjour WaterWatch) – Je vais vous parler du séjour WaterWatch qui portait sur l’étude des micro-plastiques. Je vais vous expliquer comment nous avons fait et avec quels outils et pourquoi cela était nécessaire de mener ces expériences. Toutes les expériences et tous les résultats ont été faits à l’université de Lausanne dans le laboratoire l’Éprouvette. Je vais aussi vous parler de la diminution des corégones et quels sont les principaux facteurs.

Alexandre Ravel et Thomas Ravel – « Islande, terre de feu et de glace » (Explor’Earth) – L’été dernier, nous sommes partis en expédition en Islande. Pendant ce voyage, nous avons pu explorer une grande diversité de paysages, chacun présentant leurs particularités. L’Islande est un véritable trésor pour le monde scientifique, nous avons pu découvrir de nombreux domaines et sous-domaines de la science comme la géologie, la volcanologie, la glaciologie et comment ces domaines se chevauchent pour former l’Islande telle qu’elle est aujourd’hui.

 2019

Niels Clément et Bernat Jalinot – «  Étude de la qualité de l’eau dans les Grands Lacs américains » (WaterWatch) – Le programme WaterWatch a pour but d’étudier la qualité de l’eau au cours du temps et en fonction de l’environnement dans différentes zones du globe. Le séjour « Into the Great Lakes » a démontré d’après nos résultats que la qualité de l’eau était bonne. La protection de l’eau est alors un point de vigilance pour les touristes responsables.

 2018

Théo Abramo et Nourélise Djelidi-Robert - « Droits de la nature et écocide » (Excellence)

Victor Sutter - « Does life exist out of Earth ? Could we live there ? » (StarFinder)

Anna Diblan, Gaspard Depond, Clément Léger, Milena Pasini, Sarah Peter, Anne Tekieli, Hugo Thomas, Loïc Thomas - « Au fil de l’arbre » (Perception)

Anne-Laure Serrano - « À l’affût de la biodiversité dans le val d’Anniviers » (Biodiversita)

Sébastien Arnaud - « Multi-rotors pilotage » (Drone Connection)

François Lambert - « On tne tetra’s trail ! » (Biodiversita)

Philéas Clément, Pauline Ducastin, Alice Ghestem, Benjamin Lacour et Sasha Mérigot - « Into the Great Lakes » (WaterWatch)

Eliot Abramo, Marc Janthial et Nathan Tardy - « Puces sur le terrain » (Chip’Hackademy)

 2017

David Bourgeois et Isidore Fontaine – « A small step for an archosaurus, but a giant leap for paleontology » (Paléozoïc) – Sur les traces des dinosaures, à 3000 mètres d’altitude en Suisse : étude d’empreintes fossilisées de dinosaures réalisées par des jeunes de 13 à 25 ans.

Arthur Brignogne – « Étude des mines du Val d’Anniviers en Suisse - Une illustration d’une action de recherche en géologie menée sur le terrain par des enfants, des adolescents et des adultes » (Mineo) – Débutant au Moyen-Âge, les recherches et les exploitations en Val d’Anniviers ont duré trois siècles et culminé au milieu du XIXe siècle où des succès notables sont à mentionner : exploitation de cuivre, argent, plomb, zinc, manganèse, bismuth, cobalt, nickel, amiante, fer, pierre ollaire. À ce jour on a recensé 36 mines et d’innombrables indices métallifères en Anniviers : cela en fait la région de Suisse la plus riche en mines et la plus riche minéralogiquement. Pourtant ces mines très peu visibles dans le paysage restent peu étudiées. Depuis 2014, Objectif Sciences International recense, cartographie et échantillonne ces mines. En 2017, du métal pur a même été produit et analysé.

 2016

Anna et Lancelot Diblan, Clément Léger, Adrien Mendes, Anne Tekieli, Hugo et Loïc Thomas et Ann-Elfig Turpin, – « Étude sur le piégeage de la chenille processionnaire du pin (Perception). Chaque année, les chenilles processionnaires du pin (Thaumetopoea pityocampa) représentent un réel danger sanitaire dû à leurs poils urticants. En effet, elles se sont emparé d’environ 100 000 km2 de territoire français et progressent en moyenne de 5 kilomètres vers le nord du pays tous les ans.

Pour notre étude, nous nous sommes demandé s’il existait une hauteur optimum afin d’installer les pièges à phéromones. C’est pour cette raison que nous avons placé des pièges à 1,5 mètre et d’autres à 5 mètres. On peut facilement mettre en évidence l’importance des pièges à phéromones dans la mise en place de techniques de lutte contre les chenilles processionnaires du pin.
Nos recherches ont permis de mettre en avant qu’il existe une influence provenant de la hauteur des pièges sur le nombre de papillons mâles capturés. C’est donc sur la base de ces nouveaux résultats que nous continuerons notre étude.

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